Il m'arrive bien souvent de souhaiter voir Paris se vider de ses parisiens. Je ne me sens jamais aussi bien dans ma ville qu'au mois d'août, quand elle n'est plus ensevelie sous le stress et la tension de ses habitants.
Mais Naples... Les rires, les cris, les scooters klaxonnant. Je sens la vie qui déborde. C'est elle qui fissure les immenses murs qui tentent en vain de l'enfermer.
La dernière image que j'aurai de mon passage : une napolitaine qui fait joyeusement sauter les seins de son amie devant mon objectif...
Où est le bon goût ? Loin, très loin. Mais il ne me manque pas.
Si vous avez aimé ça, vous devriez aussi regarder le Chapitre 1.